Note : certains noms de monstre seront volontairement changé *-*Chapitre 1 : Prologue
La scène se passe dans un village insulaire appelé moga. Il fut l’un des quelques villages côtiers n’ayant pas été détruit par le cadeus il y a de ça plusieurs décennies.
Depuis, la plupart des villages ont été reconstruit.
La plupart des réfugiés s’étaient installé dans le village, qui pour l’occasion a été agrandie.
Grâce à la mort du ceadeus et de la très grande démographie dû aux nombreux réfugiés, moga devint vite un grand village où se concentra la majorité de l’activité économique de la côte.
Il fait nuit, rires d’enfants et rires gras d’adulte avinés emplissent l’atmosphère.
Aujourd’hui au village, c’est jour de fête.
Les mères, apaisés par la fin des récoltes qui s’annonçait faste, et les maris encore fier et triomphant du rathalos tué la veille, laissait leurs enfants s’amuser, tous ayant quelques piécettes pour s’offrir quelques bonbons ou demander de l’aide aux plus grands pour les aider à monter sur le dos de la dépouille du rathalos qui trônait à la grande place du village.
Les marchands, heureux que les enfants ne soient plus sous la surveillance des adultes, décidèrent d’alléger leur maigre bourse, et ne se gênèrent pas pour triplés leur prix déjà prohibitif.
Les enfants, après avoir essayé chacune des attraction improvisé par les plus commerçant d’entre eux, et utilisés toutes leur menue monnaie, retournèrent près de la grande place.
D’un côté de la statue au milieu de la place, se trouvait la dépouille du rathalos, dont les enfants essayait vainement d’extraire quelques écailles ; et de l’autre un vieillard au regard scintillant de voir autant de malice à l’œuvre.
Les enfants, lassés de tant d’aventure et de liberté, décidèrent de ce reposer en écoutant les histoires du vieille homme, qui était connu pour raconter les histoires des plus grands hunter de ce demi-siècle, toutes plus incroyable et vrai les unes que les autres.
Sa notoriété faisait de lui un homme respecté.
La plupart des adultes ne venaient pas chaque année écouter ses histoires, déjà bercés petits par celles-ci pour la plupart.
Le silence se fit autour du vieille homme, cherchant ses lunettes pour mieux lire les livres qu’il avait écrit il y a de ça des décennies.
Il les avait écrits pour être sûr que son histoire, ainsi que celles de ses amis ne soient pas perdu ou déformé après sa mort qui s’annonçait proche. Quelques hivers encore, il seras capable de raconter ces histoires, mais guère plus.
Les enfants, surexcité lui demandèrent immédiatement : « le cadeus !!!Raconte nous aussi Ragnate !! »
Le Cadeus responsable de tant de malheur, ainsi que le légendaire Ragnate éveillais la curiosité insatiable des garnements.
Le vieillard : Je commencerais d’abord par…........le début. Prenez votre mal en patiente.
Le vieille homme commença à raconter. Les enfants, d’abord mécontent de ne pas avoir ce qu’ils voulaient, devenait de plus en plus silencieux et immobile au fur et à mesure que le vieillard poursuivait son histoire.
Son public conquis, il décida de baisser le ton, laissant l’ambiance devenir plus intimiste.
Les enfants et le vieillard étaient en rond près d’un feu, ce qui renforçait cette ambiance particulière.
Il regarda avant de continuer la statue qui représentait le groupe de ragnate au complet, se disant fièrement qu’il fut un temps où il était plutôt beau gosse.
Les enfants s’impatientait et lui lançait des regards boudeurs, ce qui fut suffisant pour lui faire regagner ses esprits. Il continua a raconter son histoire, et ce jusqu’à l’aube, leurs parents encore occupés à fêter le résultat de leurs durs labeur.
Je vous laisse maintenant écouter son histoire, celles des plus grand hunters de son époque.
Chapitre 2 : retour à Daglake
Une jeune chasseuse se débat dans la neige. Pour réparer son armure elle avait besoin de composants de la créature la plus féroce et vorace de la création.
Une bête noire au souffle mortelle, le Downjohns, qu’elle avait décidé de traquer, et qui l’a d’ailleurs retrouvé en premier, en train de se baigner vêtu de son plus simple appareil.
Elle cherche maintenant à récupéré son armure barioth et son sac qui contenait ses munitions de fusarbalètes et ses boissons chaudes.
*Quelques minutes plus tard*
Ayant récupéré non sans mal le pantalon et la ceinture de sa tenue, elle entrepris de monter sur un rocher assez haut qui la surplombait, avec son sac qu’elle tenait de l’autre main, abandonnant son arme en contre-bas.
Une fois au sommet elle enlevas les stalactites sur son corps dû à sa baignade, puis tenta d'enfiler comme elle pût ce qu’elle avait pu récupéré, ce qui du haut du rocher n'annonçait difficile avec les nombreux cris du johns qui lui vrillaient les tympans.
Voici comment débuta ce périple dans la contrée neigeuse de Daglake :
Lynsy, hunteresse émérite, venait de briser la semaine dernière une partie essentielle de son armure. Celle-ci étant très spécifique, il ne s’agit pas d’une armure que l’on peut forger où l’on veut avec n’importe quel composant.
Lynsy, de musculature moyenne pour un hunter, mais d’une dextérité et agilité féline, utilisait de très résistants boucliers placés sur les jambes et les bras de son armure, ce qui était pour le moins original pour un utilisateur de fusarbalète.
Ceux-ci étaient à la fois très résistants et très léger.
Ils étaient fait d’os et de cuir de bébé johns.
Seuls ceux-ci, très malléables tout en étant particulièrement solide, pouvaient permettre la forge de tels boucliers. N’importe quel autre bouclier serait trop fragile pour l’usage qu’elle en fait, ou entraverait ses mouvements si le bouclier était assez robuste mais trop lourd en compensation.
Les Johns sont très protecteurs envers leur progéniture et ne redevienne des créatures solitaire qu’une fois les bébés johns apte à résister à leurs plus grands prédateur, les rathalos et les hunters, les uns lorgnant de la viande, les autres des composants.
Le contexte étant maintenant connue, revenons à notre récit.
Lynsy vient de se réveiller d’un de ses cauchemars. En sueur, elle repris doucement ses esprits tout en relâchant doucement son étreinte de son poignard dégainé et pointé sur l’aubergiste, qui venait d’ouvrir la porte pour lui apporter sa collation.
Quelques peu surpris, mais rassuré par les quelques mètre qui la séparait d’elle ainsi que de sa jolie tenue légère qu’il entrevoyait au-dessus des draps.
Se voyant dévisagé en dessous du visage, la jeune fille toussota.
L’aubergiste soudainement tiré de sa rêverie bégaya maladroitement :
-Je suis venu pour…euh… Le petit déjeuner…Vous nous avez commander un petit déjeuné…
Dit-il, finissant sa phrase sur un sourire gêné.
-Vous pouvez le laissez sur la table près de l’entrée.
Dit-elle les yeux à moitié fermé depuis qu’elle a repris le contrôle de son corps fatigué, auparavant affolé par ses hauts faits onirique.
L’homme, d’une quarantaine d’année, s’exécuta immédiatement, ne manquant pas de lui jeter un dernier regard, aussi libidineux que celui de sa femme était réprobateur, celle-ci s’étant faufilé dans son dos.
L’hunteresse, amusé par les deux aubergistes pouffa silencieusement de rire.
Peut après avoir placé son plateau, cet homme se retourna, quelque peut surpris de voir son épouse dont il avait crû se débarrassé en l’envoyant faire le ménage dans la chambre occupé par un jeune homme à la bourse conséquente appelé Zylofa De Lyseblot.
Décontenancé, l’aubergiste s’excusa auprès de Lynsy de prendre congé aussi brutalement.
Il avait dans l’idée de marcher lentement, puis de se mettre à courir avant que ça femme n’ais eu le temps de réagir.
Il sortit de la pièce, et entrepris de se mettre à courir.
Connaissant son mari, elle lui pris vigoureusement l’oreille au moment même où il commença sa course, lui arrachant un râle de douleur.
Ils s’expliquèrent par la suite vigoureusement d’après ce qu’en supposeras plus tard Lynsy, en voyant Mr Relbog ecchymosé de la tête aux pieds.
Encore fringuant et ayant bien vieillis, il avait du succès avec la gente féminine, ce que sa femme ne tolérait pas vraiment lorsqu’il n’en usait pas « pour faire du chiffre ».
Mais revenons à notre histoire.
Après avoir dévoré son repas, elle alla voir le marchand pour lui acheter des breuvages chauds en grandes quantité pour continuer son long voyage.
Cela lui avait fait du bien de revenir ici, même si on ne se rappelais pas toujours d’elle.
Elle devait maintenant aller voir Kobok.
Elle se dirigea vers la forge, se disant qu’elle pourrait peut-être jouer de sa maigre célébrité de chasseuse pour qu’on lui fasse crédit.
Connaissant le forgeron, ainsi que quelques vérités dérangeante (comme des appareils photos rudimentaire caché dans les armures destiné à la gente féminine), elle pensait y arriver sans grand mal à condition de se montrer raisonnable.
Elle resta immobile à quelques mètres de l’entrée qui lui paraissait plus petite que dans son souvenir.
Le bois était apparemment neuf. Une forte odeur de sciure fraîche entourait encore la bâtisse.
La peinture bleue marine et blanche représentait des armes de plusieurs sortes, surtout des séries cristal, une spécialité de la région.
Elle entra timidement dans la boutique, remarquant un panneau près de l’entrée dont l’écriture était peu lisible.
La porte fit un petit tintement de clochette. Une fois entré elle regarda l’intérieure sobrement décoré.
Une lampe-tempête pendait allumé au centre de la pièce, faisant des reflets dorés sur les murs.
Des armures de très bonnes factures trônaient sur le mur de gauche, et des armes étaient accrochés sur la droite.
Une petite forge dernier cri était visible, partiellement caché par un rideau en peau de popo situé derrière le comptoir.
Les fusarbalètes étaient introuvables, sûrement peu rentable d’après le forgeron.
Seuls des liquides Anti-gel était relatif à l’arme qu’elle tenait en bandoulière.
Maiiiiiss….
Des catégories A !!!! Résiste à des température de –40° !!!!Lynsy, toute excitée, venait de trouver ce dont elle aura le plus besoin.
Les catégories B dans sa bourse ne supportant que les températures allant jusqu’à –10°.
Voyant cette intruse faire une tête de touriste émerveillé, Kobok en bon commerçant, sentait que ce n’était pas quelqu’un qui passerait par la caisse avant de partir.
-C’est pas une boutique souvenir ici
Quek vous vl’ez ………madame ? Dit-il sur un ton goguenard.
C’é quoi cte gamine ?-Auriez vous une armure qui permettrais une meilleur résistance au froid ?
Ma tenue rhenoplos allégé permet de gros échanges d’air entre l’extérieure et l’intérieure de l’armure. Pour combattre dans le désert je comprends son utilité, mais dans des contrées glaciales je ne vais pas pouvoir tenir avec ça.
Pourriez vous me donner une tenue barioth ?
Le forgeron, scandalisé, se mit à braillé le ventre gonflé, fier comme un coq.
-Je vois pas pour quel raison j’vous donnerais tout ça gratuitement ma tite dame !
Vous Payez, vous Avez ! C’est écris à la pancarte à l’entrée !
N’on dit diou ! V’zaprenez pas les bonnes manières chez vous?V’zavez la politesse d’une noble !
-Dans ce cas là je peut revenir avec l’argent.
-Cé t’y pas la moindre des choses ?
Ce serais très bien de faire comme ça ! Pourquoi ne pas l’avoir compris tout de suite ?[/font]
Dit il sur un ton acerbe et exaspéré.
-A les fem
(elles)…femmes ! Je voulais dire femmes ![/font]
pt1 c’était quoi c’te regard ?J’ai eu chaud à mes fesses... -Je pense avoir dans les 130 000 zenny dans la journée pour vous payez.[/font]
Le regard scintillant, il pensait qu’il n’aurais jamais l’occasion de plumé une telle greluche, en tous cas pas d’un tel montant. Il fit donc sa mijorée.
-Je pense que cela n’est pas assez…Vous comprenez, c’est difficile de trouver des gens acceptant de se risquer à chasser le barioth avec les très bonnes récoltes de cette année.
Si vous me donnez cet argent très vite, je pourrais peut-être me contenter d’une telle somme.
Dit-il comme si il venait de faire un concession menaçant de lui faire faire faillite.
J’le sait que l’pigeon citadin peut changer d’avis. Avec un tel prix il demande conseille dès la sortie de la boutique, et bien sûr, ayant de tels tarif, n’importe quel individus un tant soit peu intelligent seras scandalisé et l’enverrais directement chez mon concurrent du village à côté. -Je peut vous donnez cette somme immédiatement, il me suffit d’aller à Ouest toundra et de leur donnez les informations nécessaire pour…
Les yeux écarquillé , et bientôt exorbité il l’écouta avec attention.
Lynsy le sentait perdre toute contenance.
Et cela ne risque pas de s’arrêter XD pensa-t-elle sans perdre son sérieux .
-…faire un article sur certaines de vos habitudes commerciales.
Dit-elle d’une seule traite.
-Mes prix ne sont pas illégaux! Je suis parfaitement en règle!
dit-il en sachant pertinemment qu’il pouvait mettre les tarifs qu’il voulait.
Il pensait avoir repris le contrôle de la situation
J’m’suis achetez du terrain ici !En pleine ville !Ca coûte un fortune ! c’est normale que je leurs mettent des prix plus élevés à ces étrangers !Le sourire malicieux de gamin fière d’avoir gagné… Il est vraiment toujours aussi marrant. ^_^ -Je parle de vos habitude envers la gente féminine pour lesquelles vous rajouter du « leste » dans leurs armures.
Pt'ain J’suis grillé…-J’pense qu’l’on peut p’têtre trouver un arrangement. Un prêt avec caution.
-?
-J’suis un peu rak ce mois-ci, fait tellement froid que personne ose foutre le pied dehors, et avec les récoltes de ct’année compter pas sur les gens pour aller risquer leurs miches dehors à chercher du gibier. Donc pas de pépettes pour bibi ct’hiver.
…
COMMENT LE SAVIEZ VOUS ? vociféra Kobok, fortement inquiété par cette
foutu jeune grognasse !Encore sous le choc, il compris que ça allait être à son tour de passer à la caisse.
Je vais me faire plumer par mon propre pigeon…Heureuse de le revoir en forme, la jeune fille fit un timide sourire qui n’échappa au forgeron surpris.
-Je vous connaît, même si mes souvenirs sont embrumés.
Kobok pris appui sur son comptoir crasseux tout en commençant à l’astiquer s’en savoir pourquoi. Peut-être parce qu’il était trop décontenancé pour trouvé autre chose à faire.
-Je suis déjà venu ici il y a de ça plusieurs années avec Zentuco.
Kobok appuyé sur son comptoir, disparut de la vue de Lynsy, mais pas de son ouïe.
CRAAAK !!!
-RAAAAH !!!!
Un grand craquement de porcelaine brisé, et un long râle de douleur emplirent la pièce.
Le pauvre Kobok venait de tomber tête la première sur son carrelage, brisé à l’impacte.
Il regretta pendant le reste de la semaine d’avoir radiner les mises au norme pour tout ce qui n’était pas à la vu du client.
La tête légèrement ensanglanté, il écouta avec attention la suite de l’histoire de l’hunteresse, qu’elle se remémora avec passion avec le forgeron, qui pour une fois resta courtois et légèrement enthousiaste. Un sourire commençais à se former sur son visage.
-C’était donc vous la tite gamine qu’il portait dans ses bras toute la journée ?!
Lynsy rougit un peu en y repensant. Ses bras musclé et ses paroles douces, son humeur toujours agréable. Chaque occasion était propice à ce qu’il reste à ses côté pour l’écouter.
Zentuco lui avait inspiré le sentiment d’être en sécurité.
Kobok parlas pendant une bonne dizaine de secondes. Voyant la jeune fille plongé dans ses souvenirs, il l’interpella vigoureusement :
-Je vous parle la pivoine !
…
N’empêche que c’était pas jojo quand vous lui morvier sur les bras
L’hunteresse, pour le moins offusqué, n’arrivait pas à croire ce qu’il venait de dire. Elle en tombait sur le cul, que l’avis expert de Mr Relbog caché derrière la vitrine jugeait d’ailleurs fort joli. Un deuxième râle de douleur se fit entendre, emplissant cette fois-ci la rue.
Quelque peu honteuse, elle se remis à parler affaire.
-Alors ma tenue barioth ?
-On vas faire un prêt avec caution.
Je veut une assurance. Votre armure rhenoplos allégé seras suffisante.
Ce serait bête que vous clamsiez demain avec ma tenue sur vous.
Ce que Lynsy vas peut-être faire, comme il l’avait prévue ; mais sans sa tenue sur elle…
Prochainement
chapitre 3 : la traque